Discussion sur Judge Apps et sur mtgfrance !
Answer-Aaron recoit un warning pour GRV
-Neville recoit un warning pour FtMGS
Il y a eu beaucoup de débat pour savoir si l’on faisait un retour en arrière ou laisser la partie en l’état, parlons donc de cela. Un coup d’oeil à l’IPG nous montre que cela n’est pas couvert dans les cas de fix partiels. Un retour en arrière du coup ? Quand on considère un retour en arrière, premièrement on doit se rendre compte de ce qu’il s’est passé et de combien de décisions ont été prises. Allons y…
Combien de décisions ont été prises depuis l’erreur ?
Après que l’erreur soit arrivée, on a la déclaration des attaquants avec la reine des frelons, les choix de blocages, choix de lancer ou non des sorts en combat de la part des 2 joueurs, la reine des frelons éxilée, Neville qui dégage, pioche, qui décide de lancer des sorts dans sa première phase principale, puis sa déclaration d’attaquants quand il voit l’erreur.
Cela fait beaucoup de décisions prises, donc nous ne reviendrons pas en arrière. Nous n’avons donc pas le choix que de laisser la partie en l’état. Nous avons même une petite clarification de l’IPG qui appuie cette décision :
Les retours en arrière ne peuvent s’appliquer que quand laisser la partie en l’état résulte dans une situation encore pire. Un bon retour en arrière va amener a une situation ou l’information gagnée ne fait pas de différence et la ligne de jeu reste la même (à part l’erreur, qui a été corrigée). Cela signifie de limiter les retours en arrière aux situations avec peu de points de décisions.